Le cadre ...

 

Cette année, Nono a innové : nous voici partis découvrir les eaux ... toniques ... de la carrière de Chabrolles à Beffes.

Plonger en carrière... J'en ai souvent entendu parler. C'est froid, c'est sombre, c'est compliqué, bref, il faut être un peu fou pour y plonger.

Pourtant, au premier abord, le cadre est prometteur : des flancs boisés, des bâtiments un peu en ruines qui lui confèrent un petit côté mystérieux, nostalgique et hors du temps, une eau d'une jolie couleur. La carrière est très attirante.

Les plongeurs finissent donc par s'équiper avec enthousiasme...

Au programme, quelque exercices pour préparer le N2, des explorations (si si), et pour certains les premières bulles ! 

Les acteurs...

 

... Frédéric ...

       

Les plongées !

 

Une fois sous l'eau, on découvre une eau pure, un peu verte, à condition de ne pas descendre trop profond où là, ça devient noir et ... froid. Très froid. Très très froid !

Entendons-nous : profond, ça veut dire en dessous des 5m !

Alors que les moniteurs et leurs élèves se dirigent avec bonheur vers les 20m (gla gla) les explorateurs, après une incursion dans les 15m, reviennent vite près des bords et de la surface et entreprennent le tour des lieux. Ils découvrent de suite l'importance du palmage discret : plonger sur fond vaseux, ça demande des précautions.

Une fois que les repères sont pris, on découvre quand même la richesse de ces eaux. On y croise des perches, des mollusques bivalves, des algues et plein d'autres dont j'oublie ou ignore les noms. Le silure - hôte mythique de ces lieux - reste malheureusement très discret et aucun plongeur ne le croise. La visite des quelques structures et épaves vient parfaire l'ambiance et renforcer la touche de mystère.